Jour 5 – Cap Gribane
Aussitôt arrivé au stationnement, une première perdrix très enthousiaste de voir un visiteur me donne la frousse… et il y en aura d’autres!
Aussitôt arrivé au stationnement, une première perdrix très enthousiaste de voir un visiteur me donne la frousse… et il y en aura d’autres!
Dans le calme matinal, je me fais la réflexion que cette année, je n’ai croisé aucun animal particulier. Le destin me réservait une surprise…
L’auberge où je séjourne prend des allures de zoo ce matin car j’y déambule comme un pingouin à cause de mon ascension de la veille au mont à Liguori…
Il vente tellement que je dois m’appuyer contre le vent pour arriver à avancer; un exercice qui s’avère rapidement déstabilisant.
C’est avec beaucoup de fébrilité que j’attaque le dernier chapitre de mon aventure cette année : L’orignac.
Énergisé, c’est en direction Nord vers le parc national des Grands-Jardins que je me dirige pour grimper le Pioui!
J’ai trouvé un sommet aux vertus particulières! On raconte que si on y ferme les yeux, des images de toutes sortes se manifestent…
Mon réveil le lendemain de l’ascension de Liguori aurait pu être commandité par les céréales Rice Krispies car c’est au son de cric crac et croc que mes jambes se déplient pour sortir du lit…
Dès le début on longe une magnifique rivière le temps de s’échauffer. Cependant, comme le temps de dire “ça suffit le niaisage”, le sentier s’écarte et monte…
Je débute mon aventure avec LE MENAUD (à prononcer comme “le minou” mais avec un accent de mononc’ chaudasse) parce qu’il est le plus court et qu’il ferait un bon échauffement!